Le travailleur pourrait un jour s’interroger…

Publié le par gauche nationale

Sans passer par le référendum, qui est pourtant un véritable acquis démocratique, les politiques au pouvoir ont dit oui à la Constitution européenne tout comme ils ont dit oui à la Directive Bolkestein. Dès lors, nous devons nous poser la question de savoir si ces politiques, PS-MR-CDH-Ecolo, représentent encore quelque chose de crédible aux yeux de la population.

Les oppositions à cette Constitution par le « non » français et le « non » hollandais marquent un fossé grandissant entre l’opinion des citoyens et la volonté du Pouvoir en place ; le « non » hollandais étant davantage significatif lorsque nous savons que les Pays-Bas ont toujours été sensibles à la tolérance, à la liberté et au consensus.

Que se passe-t-il donc ? Le Pouvoir est aux mains de 4 partis politiques qui s’arrangent au fil des élections pour se partager telle place, tel bénéfice et tel avantage sans se préoccuper de lutter contre les délocalisations ou fermetures des entreprises, la pollution, l’emploi, la sécurité ou le pouvoir d’achat. Par contre, ces partis cherchent inlassablement de nouveaux prétextes pour obtenir des « subsides » auprès de la population sous forme de nouvelles taxes : lutte contre les fumeurs en augmentant le prix du tabac, lutte contre la pollution en augmentant le prix de tous les produits de consommation, lutte contre les automobilistes en augmentant fortement le montant des amendes.

Ces partis imposent LA pensée unique qui est la leur : la dictature du politiquement correct. Pour ce faire, ils disposent des outils indispensables à toute dictature : les médias qu’ils subventionnent, une police de la pensée représentée par quelques associations comme le MRAX, le Centre pour l’égalité des chances, etc… et toute une série de collaborateurs qui obtiennent leurs postes uniquement parce qu’ils adhèrent à cette pensée unique.

C’est ainsi que depuis quelques décennies s’est établie cette dictature de la pensée unique et du politiquement correct gardant, néanmoins et pour les besoins de la cause, le nom de « démocratie » ; une « démocratie » qui n’est que de nom en ceci que son principe et ses fondements ont été totalement bafoués en absence d’une quelconque opposition populaire.

Grâce à sa dictature de la pensée unique, le Pouvoir arrive à cacher la faillite de tout un système politico-économique au sein duquel nous nous trouvons embarqués. Mais pour combien de temps encore ? Force est de constater que des « mécontents » se font de plus en plus remarquer dans toutes les régions européennes…

Comme dans toute dictature, les 4 partis au pouvoir ont commencé à cataloguer chaque philosophie de pensée avant de les ficher et, surtout, avant de les punir ; aussi bien moralement que pénalement. Le classement « gauche », « droite », « extrême gauche » et « extrême droite » signifie-t-il encore quelque chose ? Nombreux sont ceux, aujourd’hui, qui savent très bien qu’il n’y a plus aucune distinction entre la « gauche » et la « droite » dans notre pays, dans notre Europe. Seuls ceux se refusant de collaborer à cette dictature sont, forcément, qualifiés d’extrémistes ; qualificatif bien choisi pour effrayer, pour faire craindre le pire.

C’est ce qui nous amène à la partie non visible de cet iceberg. Il fallait vider les cerveaux, de TOUS, pour y placer de nouvelles données tel un ordinateur remis à zéro pour un nouvel utilisateur. Assassiner la démocratie, sans aucune riposte ; imposer une société économique infernale totalement anti-sociale, sans aucune riposte non plus, en usant de nouveaux mots et de nouvelles expressions évitant, peut-être, que les citoyens se rendent compte de la situation réelle qu’ils subissent et qu’ils subiront davantage demain.

Au lieu d’agir pour un réel soutien social, au lieu de créer de l’emploi, au lieu de maintenir la sécurité ; bref, au lieu de protéger les valeurs auxquelles tout citoyen a droit au sein de notre société dite « évoluée », le Pouvoir pourchasse tout ce qui est susceptible de représenter un risque de perdre le moindre Euro-cent de subside à la bande des 4. N’hésitant pas, pour ce faire, à flageller le peuple à tel point que nous nous demandons si celui-ci ne s’est pas soumis à la psychologie du sadomasochisme.

Mais un nouveau problème se présente à ces partis, et de taille car incontournable, vu qu’il n’est pas à caractère humain : le réchauffement de la planète suite à la pollution. Restés sourds durant des décennies, les politiques tendent l’oreille. Pourquoi si tardivement ? Tout simplement parce qu’il est question… d’argent ! Le leur !

C’est un ex-responsable de la Banque mondiale qui l’annonce : le réchauffement climatique pourrait coûter 5000 milliards d’Euro dans les 10 prochaines années, entraînant une crise économique, sociale et humaine gigantesque ! Dans les 10 ans… pas plus !

En conclusion, le travailleur se trouve dans les embouteillages alors qu’il se rend à l’Orbem pour trouver un emploi. Il écoute la radio où Laurette Onkelinx, « socialiste » habitant la riche commune de Lasne », lui dit que s’il y a eu des émeutes dans certains quartiers c’est parce que les jeunes désirent faire passer un message que nous n’avons pas encore compris. Il entendra, un peu plus loin sur sa route, si on ne lui a pas encore vole pas sa voiture, Didier Reynders proclamer que les travailleurs ont été augmentés de salaire, que la situation économique du pays est florissante et que le citoyen sera de moins en moins taxé. Le travailleur ne sortira pas des files de voitures suite à une manifestation d’homosexuels demandant toujours plus de droits et il devra payer pour comprenser les millions d’Euro que le PS a gaspillé dans de nombreuses affaires politico-économico-judiciaires.

A ce moment-là, le travailleur comprendra peut-être pourquoi certains citoyens ont choisi le camp des Nationalistes et des Identitaires… 

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